Description
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Le deuxième palier est atteint,
nouvel objectif : 25 000 € !
Cette mission de l’Abbaye de Faremoutiers n’est pas fortuite. Elle est enracinée dans l’histoire de sa fondation et en particulier dans le charisme de sainte Fare ; un charisme d’apaisement et de renouveau intérieur qui porte toujours son fruit après 1 400 années.
D’aucun s’étonne de la vitalité et la fécondité retrouvée de certaines sœurs particulièrement fragiles trouvant à Faremoutiers un environnement leur offrant d’écrire une nouvelle page de leur vie monastique. Mais rien ne se fait sans le Christ et ses saints.
- visibilityUn acte de Foi posé sur 1 400 ans d’histoire
Comme tout projet monastique, c’est un acte de foi posé et qui sollicite l’intercession des tous les saints passés par l’abbaye dont la première, sainte Fare.Sainte Fare fut consacrée à Dieu dans l’enfance par le moine évangélisateur Colomban. Cependant, c’est saint Eustase, successeur de ce dernier comme abbé de Luxeuil, qui aida Fare à fonder son moutier en lui donnant des moines comme aumôniers et bâtisseurs.Le monastère donnera son nom au village de Faremoutiers qui grandira autour (FARAE MONASTERII). De nombreux saints y ont vécu ou séjourné : 7 moniales de la communauté figurent au martyrologe romain, plusieurs moines de Luxeuil tels saint Eustase, saint Walbert, saint Ouen, ainsi que les frères de Fare saint Cagnoald et saint Faron.Pendant plus de onze siècles, l’Abbaye a résisté aux vents contraires des crises, aux incendies, aux épidémies et aux guerres. Elle a connu aussi des périodes de paix et de prospérité, sous la conduite de grandes abbesses. Bossuet, l’évêque-écrivain de Meaux lui apporta tout son soutien. Il y prononça l’oraison funèbre de « la princesse de Clèves », Anne de Gonzague qui vint à Faremoutiers chercher la paix du cœur, après une vie mouvementée parmi les grands de ce monde.En 1792 la communauté est dispersée et l’abbaye complètement détruite. Nul n’espérait une résurrection et pourtant, en 1931, 28 moniales sont venues à Faremoutiers pour redonner vie au projet de Fare.En 1980, est créée la maison de retraite, EHPAD « Abbaye Notre-Dame », permettant aux sœurs âgées de bénéficier des services médicalisés d’une équipe professionnelle.
A la chapelle
Mère Clotilde, Prieure
A l'heure de l'angélus
Les pierres vivantes de l'abbaye
De la fondation de l’abbaye ne subsiste que la crypte d’époque mérovingienne abritant plusieurs sarcophages. Cette crypte est l’emblème du don particulier accordé à ce lieu : charisme de sanctification et d’apaisement, charisme de renouveau intérieur.
Racine sainte de l’abbaye, elle est à l’état d’abandon et la communauté souhaite lui redonner sa vocation de sanctuaire, de lieu de prière et de vie monastique accessible à toutes les sœurs.
Constituée en deux « nefs » parallèles, la crypte va faire l’objet d’une restauration soigneuse visant à préserver ce lieu historique et les sépultures pour y perpétuer la mémoire de la fondation. Au sein de la première nef, seront placées les reliques de sainte Fare. Ce lieu apaisé et silencieux sera ouvert à nouveau à la prière des fidèles.
Esquisse de la première nef :
le sanctuaire et l’autel
Esquisse de la seconde nef :
la salle capitulaire (elle sera aussi accessible aux sœurs ayant une mobilité réduite.)
Esquisse de la travée centrale :
siège de la prieure et reliquaire au fond
Le maître mot de cette renaissance est l’accueil !
- Accueil des moniales résidentes en vue de leur offrir apaisement et renouvellement au sein d’un « monastère-établissement » profondément rénové.
- Accueil de toute autre personne dans une hôtellerie au service des pèlerins et des retraitants.
- Un vaste parc à l’anglaise offrant un cadre bienfaisant à cet accueil.
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La boutique monastique de l'Abbaye de Faremoutiers vous accueille désormais du mardi au vendredi de 15h à 18h30, le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h30 et le dimanche de 10h à 12h.