Description
L’Association Hôpital Galagala est née le 26 octobre 2012 dans le but de soutenir la construction et la maintenance d’un hôpital à Galagala dans la province de l’Adamaoua au Nord du Cameroun.
L’initiatrice et la cheville ouvrière de ce projet est Sœur Marie-Michelle Cornut, religieuse valaisanne, membre des Sœurs de la Charité de Sainte Jeanne-Antide Thouret.
Depuis sa fondation, l’Association a mis sur pied des évènements afin de récolter les fonds nécessaires à l’achèvement de l’hôpital : expositions-ventes, concerts, soupers de soutien, ventes de gâteaux… Elle a également sollicité des privés et des associations diverses parmi lesquelles « Valais Solidaire » dont elle est membre.
Grâce à cet élan de générosité et au travail de son comité, l’Association a déjà pu verser plus de 250’000 francs CH pour la construction de cet hôpital qui a ouvert ses portes le 4 avril 2016. Pourtant, à la demande de Sœur Marie-Michelle, le comité de l’Association s’est engagé à poursuivre son aide afin de couvrir une partie des frais de sa mise en route et ceci jusqu’à ce qu’il devienne autonome financièrement.
L’Hôpital Sainte Jeanne-Antide Thouret, situé dans le quartier Galagala à NGAONDAL (Région de l’Adamaoua – Cameroun) est géré par les Sœurs de la Charité. Il a ouvert ses portes en avril 2016 après cinq années de chantier grâce à la pugnacité des Religieuses chargées du projet et au soutien de plusieurs associations et de nombreux donateurs et bénévoles.
La chapelle où seront dites les prières à vos intentions.
La structure hospitalière est implantée en milieu rural. Elle dispense les soins à tous sans distinction de race, d’ethnie, de religion ou de classe sociale.
Le personnel a été recruté localement autant que possible.
L’établissement est informatisé. Il utilise un réseau informatique local avec un système d’exploitation spécifique aux hôpitaux : CARE 2X.
La maintenance est assurée par un jeune homme originaire de NGAOUNDAL qui s’est auto formé dans le domaine informatique. Ses capacités réelles et sa volonté lui ont permis, jusqu’à ce jour, d’assurer les fonctions qui lui avaient été attribuées.
Aujourd’hui, avec le développement du système et les nouveaux programmes de suivi de la performance qui vont être mis en place, et parce que « sans informaticien, on n’est rien ! », l’Hôpital SJAT souhaite renforcer la formation et la spécialisation de son agent de maintenance.
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2017, le jeune homme est inscrit à des cours par correspondance ce qui lui permettra de tenir son poste sur place tout en suivant sa scolarité.
Le choix s’est porté sur un centre de formation situé en France.
Coût :
La première année a pour thème : « Les techniques en réseaux informatiques ». Son coût = 2 411€ (deux-mille-quatre-cent-onze euros).
La deuxième année aura pour thème : « La programmation ». Son coût = 1 512€ (mille-cinq-cent-douze euros).
Soit un total de 3 923€, auxquels il faut ajouter les frais de matériel informatique (environ 515€), de connexion internet par clé (environ 245€), d’affranchissement (environ 17€) ainsi que les frais téléphoniques (échanges avec le tuteur de la formation, soit environ 225€). Le coût global de la formation peut être estimé à 4 925€.
Représentant l'association en France : Marie-Pierre, jeune retraitée, a effectué son premier voyage au Cameroun et à Ngaoundal en février 1987. Elle est engagée depuis dans l’aide aux missions des Sœurs de la Charité.
Dernier séjour été 2017 : 3 mois de bénévolat à l’hôpital SJAT de Galagala (partie administrative).